Le dernier des métiers de Boris Vian – La grosse clique

« Hautement profanatoire ». Voici les mots du directeur des Noctambules, lorsqu’il refusa la pièce de Boris Vian en 1950. Le dernier des métiers, profanatoire ? Certainement. Mais c’est surtout la pièce d’un auteur qui fait preuve d’une fantaisie et d’un humour à toute épreuve.

Dans cette pièce les projecteurs ont remplacé les chandeliers, les paillettes, l’eau bénite, et le « Amen » devient « it’s show time ».

Le Père Saureilles se produit, chante, danse, et se donne à la foule, la messe se transforme en cabaret, pour la gloire de Dieu, mais surtout de lui-même. Alors saisissons cette matière irrévérencieuse et potache pour nous amuser de ces Tartuffes de la foi.

« Simagrées, chansonnettes, jolis costumes… Le catholicisme et le music-hall, c’est du pareil au même », Boris Vian.

Mise en scène, scénographie, construction de décors/accessoire et photographie : Anna Gaillard
Assistance mise en scène : Hugo Loiodice
Interprètes : Tom Bindi, Coline Colombo, Alister Debrosse, Nicolas Laurençon, Thomas Saint-Supéry, et Kéziah Tébib
Aide à la fabrication des accessoires : Magali et Thierry Gaillard
Confection des corbeilles de fleurs : Valérie Nanchi

Plein tarif : 12 €

Tarif réduit : 8 €

Adhérents GC : 5€

Ouverture des portes 30 min avant le spectacle